Immobilier La Ciotat

Histoire La Ciotat

Édifiée au gré du temps la Ciotat est lumineuse depuis l’an 1429

Édifiée au gré du temps par quelques illustres personnages, la Ciotat laisse entrevoir par le XXIe siècle une ville lumineuse, joyeuse et dynamique. À l’abri et protégée par le cap Canaille et le Bec de l’Aigle, cette citée a déjoué l’oppression des Ceyrestens. Une alliance est créée par Monseigneur Guillaume Du lac. Cette charte est un partage des territoires, elle est signée en 1429. En l’an 1675, Ceyreste accorde à La Ciotat une seconde division de ses parcelles. Le siècle suivant affranchit la Ciotat de tous ses liens. Elle est enrichit et ennoblit délimitant l’actuelle superficie de la ville.

La patience des années, laisse deviner le balbutiement de l’industrialisation

Au XVIIIe siècle la Ciotat va perdre de sa superbe. Plusieurs éléments vont asphyxier son économie. La Révolution ou les Anglais bloquant le port verrouillent la construction navale, le commerce et les échanges. Le déclin de la Ciotat est annoncé. La patience des années, et l’illusion d’une nouvelle ère, laissent deviner le balbutiement de l’industrialisation. Louis Benet et son usine de machines à vapeur en 1836 génère des emplois. La ville inaugure l’arrivée du chemin de fer en 1859. L’épopée fabuleuse des frères Lumières en 1894 matérialise les souvenirs en images.

La modernisation et la déception du XXe siècle

Le progrès est entré avec ce XXe siècle, l’année 1924 éclaire les rues de la Ciotat avec l’électricité. Un des symboles de la Provence prend naissance en 1910 avec la pétanque. Le groupe Terrin fonde le le C.N.C (Chantiers navales de la Ciotat) en 1940. Les trente glorieuses passées, la ville est gangrenée par le chômage et sa population régresse. Le courage des Ciotaden et l’arrivée du nouveau millénaire ravivent l’espoir. Cette cité renaît de ses cendres par le tourisme et l’activité maritime. La magie des calanques, le charme de ses ruelles laissent son empreinte aux voyageurs d’un été.